Le Zangezur occidental, densément peuplé il y a quelques générations de Turcs et de Kurdes, a été transféré en Arménie «sur la base d'une majorité nationale». Sur la même base, une autonomie arménienne a été créée au Haut-Karabakh, qui a ensuite servi de base à la formation de la "République
En 100 ans, sur la minorité de 20% au Karabakh, les arméniens sont devenus la majorité absolue dans la partie haute, représentant 94% de la population. C'est ce qui leur a permis d'y acquérir une autonomie qui, dans les années 1990, a absorbé la partie basse du Karabakh, devenant la
Tous les faits ci-dessus sont basés sur les documents officiels de l'Empire Russe, conservés à la bibliothèque d'état russe à Moscou, ainsi que sur les travaux scientifiques de l'Institut d'histoire de l'Académie des sciences de la RSS d'Arménie, conservés à Erevan. Des analyses et des informations plus détaillées sont présentées
L’histoire ethnique du Karabakh est extrêmement politisée. Les deux parties au conflit défendent leurs droits sur ce morceau de terre montagneuse, notamment en revendiquant l’antiquité de leur propre présence. En outre, l’une des parties soutiennent les intellectuels européens. Ainsi, en octobre 2020, au plus fort de la guerre du Karabagh,
Dans 1722-1723, la Russie a commencé son expansion à l'est. Dans le même temps, les russes ont misé sur les chrétiens d'Orient. Ainsi est née l'idée de la création du Royaume Arménien. Il devait devenir la tête de pont de l'avancée russe en Asie.
En octobre 2020, au plus fort de la guerre du Karabakh, français, historien et écrivain, Olivier Delorme (Olivier Delorme) a appelé à partir des pages du journal Le Figaro «arrêter d'utiliser le mot séparatisme au Haut-Karabagh, de l'Artsakh, les arméniens, peuplé depuis l'antiquité, plus de 90% par les arméniens».